Cursus de l'auteur
Arnaud FIOCRET
Né en octobre 1982 (40 ans) dans le Val D'Oise (95)
Dessinateur Cartographe (métier de l'Information Géographique Nationale - IGN)
Reporteur photo amateur (architecture, agriculture, tourisme et humanisme)
Astronome amateur (principalement un observateur qui promeut le visuel)
Né en octobre 1982 (40 ans) dans le Val D'Oise (95)
Dessinateur Cartographe (métier de l'Information Géographique Nationale - IGN)
Reporteur photo amateur (architecture, agriculture, tourisme et humanisme)
Astronome amateur (principalement un observateur qui promeut le visuel)
Arnaud FIOCRET se passionne pour l'astronomie dès l'âge de neuf ans, tout d'abord dans un processus livresque avant de commencer ses premières observations avec une petite lunette de 50 mm d'ouverture en décembre 1992. En 1996, à 14 ans, sa route croise celles de Patrick SOGORB et de Frédéric DEFRENNE. Ces astrophotographes reconnus vont jouer un rôle particulièrement déterminant dans son affirmation de la passion pour le ciel, compte-tenu des quelques occasions qui se présentent à lui de pouvoir observer dans leurs instruments catadioptriques de 225 et 280mm d'ouverture. Un peu plus tard, en novembre 1997, il rencontre un grand maître de la discipline, Gérard THERIN (1962-2019).
Son chemin personnel reste assez hésitant jusqu'à la fin de l'année 1999, année de ses dix-sept ans où il obtient un instrument enfin à la hauteur du sérieux qu'il place depuis bien longtemps en la discipline : Un Célestron 8 (télescope catadioptrique de 203 mm d'ouverture) sur une monture allemande Vixen GP avec viseur polaire. A partir de ce moment bien précis, Arnaud FIOCRET commence à s'investir dans de nombreux travaux d'observations. Pendant un peu plus de dix ans, jusqu'au début des années 2010, il enrichira sans cesse ce cursus de très belles rencontres et/ou correspondances de grande qualité (Nicolas BIVER, Jean-Christophe DALOUZY, Gilles DAWIDOWICZ, Philippe MOREL, Christophe PELLIER, Etienne BONDUELLE, Christophe BETHUNE, Christian VILADRICH, Gérard THERIN, Thierry LEGAULT, Jean-Louis BADIN, Didier FAVRE, etc...).
Tombé amoureux du Pays de Bray (60 et 76) dont il se passionne pour les paysages, l'architecture, l'agriculture et les bovins, il cesse alors peu à peu totalement ses activités astronomiques en 2010 pour embrasser complètement un long projet artistique de photographe amateur. Encore non content de lumières, de perspectives, de sujets et d'images qui le satisfassent énormément, il abandonne à partir de 2015, sac à dos, boîtiers reflex et objectifs. Il opte alors pour l'ergonomie de FUJIFILM, la visée télémétrique et exclusivement la focale de 28mm pour se consacrer à l'humain dans les villes, ce que l'on appelle plus populairement la "photo de rue" ou Street Photography ; tout d'abord timidement puis avec une approche de plus en plus décomplexée, souvent très proche (1,50 mètre voire moins) de parfaits inconnus. Avec la même "agressivité" d'intrusion dans les scènes humaines, il se revendique peu à peu sans hésitation de l'école de Garry WINOGRAND (1928-1984).
Même si les amoureux du ciel représentent moins de 1% de la population, on constate bien souvent que l'astronomie est une passion extrêmement tenace qui les accompagnera tout le long de leur dessein. Dans une existence, cette passion peut traverser des périodes d'éclipses mais dans la plupart des cas, il existe une de ces rares certitudes que le retour à l'astronomie intervient toujours tôt ou tard. Arnaud FIOCRET, après une "retraite" de presque une décennie, ne fait point exception à la règle lorsqu'il est de nouveau happé de plein fouet par le feu sacré de la vocation astronomique à l'hiver 2019. L'homme a mûri, l'homme a vécu de nombreuses expériences de vie, il s'est assagi, tout comme son ambition. La disparition de Gérard THERIN (son meilleur conseiller) à seulement 57 ans, une amitié forgée autour d'une très longue correspondance technique, représente l'un des pivots de ce retour. Tel un Maurice KRAFFT (1946-1991), Arnaud FIOCRET intègre à travers ce choc inattendu que la vie est la seule aventure dont on se sortira pas vivant ; il convient donc, en attendant cette fin imprévisible, d'en profiter au maximum.
Pour simple billet de retour à sa passion génésiaque pour les merveilles du ciel, c'est l'expression intelligente de l'équation de ses erreurs du passé et diverses expériences ultérieures à 2010. Il s'agit d'équilibrer son amour pour l'image s'exprimant dans la photographie traditionnelle avec l'appel du ciel par la culture d'ambitions extrêmement modestes. En astronomie, dans la plupart de ses observations, exit l'imagerie, exit la mise en station d'une monture équatoriale, exit l'informatique. Arnaud FIOCRET vise l'extrême simplification du matériel optique et ne se fixe aucun programme. Il sait désormais que ce qui le fait réellement vibrer dans l'astronomie, ce n'est pas l'image mais le simple fait de pouvoir se lever un jour de plus chaque matin en parfaite santé avec pour seul mot d'ordre : la contemplation des beautés de notre environnement (terrestres ou célestes).
Arnaud FIOCRET est membre de la Société Astronomique de France et de la Société d'Astronomie Populaire de la Brie.
Son chemin personnel reste assez hésitant jusqu'à la fin de l'année 1999, année de ses dix-sept ans où il obtient un instrument enfin à la hauteur du sérieux qu'il place depuis bien longtemps en la discipline : Un Célestron 8 (télescope catadioptrique de 203 mm d'ouverture) sur une monture allemande Vixen GP avec viseur polaire. A partir de ce moment bien précis, Arnaud FIOCRET commence à s'investir dans de nombreux travaux d'observations. Pendant un peu plus de dix ans, jusqu'au début des années 2010, il enrichira sans cesse ce cursus de très belles rencontres et/ou correspondances de grande qualité (Nicolas BIVER, Jean-Christophe DALOUZY, Gilles DAWIDOWICZ, Philippe MOREL, Christophe PELLIER, Etienne BONDUELLE, Christophe BETHUNE, Christian VILADRICH, Gérard THERIN, Thierry LEGAULT, Jean-Louis BADIN, Didier FAVRE, etc...).
Tombé amoureux du Pays de Bray (60 et 76) dont il se passionne pour les paysages, l'architecture, l'agriculture et les bovins, il cesse alors peu à peu totalement ses activités astronomiques en 2010 pour embrasser complètement un long projet artistique de photographe amateur. Encore non content de lumières, de perspectives, de sujets et d'images qui le satisfassent énormément, il abandonne à partir de 2015, sac à dos, boîtiers reflex et objectifs. Il opte alors pour l'ergonomie de FUJIFILM, la visée télémétrique et exclusivement la focale de 28mm pour se consacrer à l'humain dans les villes, ce que l'on appelle plus populairement la "photo de rue" ou Street Photography ; tout d'abord timidement puis avec une approche de plus en plus décomplexée, souvent très proche (1,50 mètre voire moins) de parfaits inconnus. Avec la même "agressivité" d'intrusion dans les scènes humaines, il se revendique peu à peu sans hésitation de l'école de Garry WINOGRAND (1928-1984).
Même si les amoureux du ciel représentent moins de 1% de la population, on constate bien souvent que l'astronomie est une passion extrêmement tenace qui les accompagnera tout le long de leur dessein. Dans une existence, cette passion peut traverser des périodes d'éclipses mais dans la plupart des cas, il existe une de ces rares certitudes que le retour à l'astronomie intervient toujours tôt ou tard. Arnaud FIOCRET, après une "retraite" de presque une décennie, ne fait point exception à la règle lorsqu'il est de nouveau happé de plein fouet par le feu sacré de la vocation astronomique à l'hiver 2019. L'homme a mûri, l'homme a vécu de nombreuses expériences de vie, il s'est assagi, tout comme son ambition. La disparition de Gérard THERIN (son meilleur conseiller) à seulement 57 ans, une amitié forgée autour d'une très longue correspondance technique, représente l'un des pivots de ce retour. Tel un Maurice KRAFFT (1946-1991), Arnaud FIOCRET intègre à travers ce choc inattendu que la vie est la seule aventure dont on se sortira pas vivant ; il convient donc, en attendant cette fin imprévisible, d'en profiter au maximum.
Pour simple billet de retour à sa passion génésiaque pour les merveilles du ciel, c'est l'expression intelligente de l'équation de ses erreurs du passé et diverses expériences ultérieures à 2010. Il s'agit d'équilibrer son amour pour l'image s'exprimant dans la photographie traditionnelle avec l'appel du ciel par la culture d'ambitions extrêmement modestes. En astronomie, dans la plupart de ses observations, exit l'imagerie, exit la mise en station d'une monture équatoriale, exit l'informatique. Arnaud FIOCRET vise l'extrême simplification du matériel optique et ne se fixe aucun programme. Il sait désormais que ce qui le fait réellement vibrer dans l'astronomie, ce n'est pas l'image mais le simple fait de pouvoir se lever un jour de plus chaque matin en parfaite santé avec pour seul mot d'ordre : la contemplation des beautés de notre environnement (terrestres ou célestes).
Arnaud FIOCRET est membre de la Société Astronomique de France et de la Société d'Astronomie Populaire de la Brie.
Quelques repères anecdotiques de parcours de vie
- Arnaud FIOCRET est un ancien élève du très réputé Cours HATTEMER (Paris 8ème).
- Titulaire de trois diplômes en mécanique de précision (tournage, fraisage et rectification).
- Participation à des propositions d'améliorations techniques du TOURNESEUL (miroir qui suit automatiquement la course du soleil) avec d'autres étudiants en partenariat avec son inventeur Gérard MONTEL (prix Concours LEPINE).